histoire du contournement Est
Le projet semble remonter à 1972. Il n’en n’est rien. Pourtant d’échec en échec, le projet aboutit à ce partenariat public/privé…
des années 70 à nos joursune autoroute pourquoi faire
Immobilier, foncier, BTP, concessionnaire, État, collectivités locales, habitants, usagers, à qui servirait cette autoroute périurbaine
à qui profiterait l’autoroutenature, environnement
Des centaines d’hectares de forêts, de terres agricoles fertiles et prairies détruites, et des risques sur l’eau potable bien réels.
quelle politique environnementalecartes du tracé du contournement Est
Cartes du tracé,
cartes de circulation,
transit, enquêtes, et chiffres…
le contournement en vidéos
Vidéos de la concertation,
témoignages et interviews,
vidéos sur les lieux du contournement
les recours contre l’A133-A134
Des associations d’élus et des associations citoyennes ont déposé des recours devant le Conseil d’État. Où en sommes nous ?
les recoursarticles et dernières actus
Retrouvez toutes les informations sur l’autoroute A133-A134
Pourquoi le Contournement Est ne désengorgera pas Rouen : des propos incohérents entre responsables ministériels
Au regard du Changement Climatique, qui s’impose aujourd’hui à l’humanité comme le plus formidable défi qu’elle ait jamais eu à surmonter, et contre lequel il ne nous reste que très peu de temps pour agir, le projet de liaison A28-A13 à l’est de Rouen ne revêt aucun caractère d’utilité publique, bien au contraire. Lorsque la bascule doit se réaliser impérativement pour permettre de rompre avec les scénarios catastrophiques annoncés, l’Etat, la Région tout comme le Département seinomarin préfèrent oblitérer, non seulement l’avenir des générations futures, mais aussi celles qui aujourd’hui voient disparaître les biens communs, et décliner leurs aménités. Le projet des infrastructures autoroutières A133-A134 à l’Est de Rouen ne présente pas un intérêt tel qu’il justifie les atteintes environnementales, le coût financier et les atteintes sociales qu’il va occasionner.
Read moreLe 26 février 2022 : grande marche contre l’autoroute A133-A134
Les populations se mobilisent pour ne pas laisser leur territoire être saccagé par une infrastructure inutile, polluante et coûteuse. N’hésitez pas à diffuser l’information autour de vous.
Read moreRecours plus anciens contre l’A133-A134
Retrouvez les pièces d’archives juridiques du combat contre l’autoroute – du Tribunal Administratif en 2004 au Conseil d’Etat en 2020.
Read moreLa métropole, la région veulent la privatisation… Pourquoi ?
En vérité, l’autoroute n’arrangera en rien les habiants de la métropole et au contraire aggraveront les bouchons du matin et du soir… Pourquoi ?
L’AUTOROUTE EN BREF
Des constats, 6 raisons majeures pour nous opposer à ce projet, et 11 résolutions alternatives.
On peut en trouver d’autres.
Nous n’avons pas besoin d’une autoroute, et la population n’en veut pas. Sauf par intérêt personnel ou privé. Mais alors, il faut que les usagers qui en veulent payent intégralement, sans participation publique cette autoroute, et en garantissent le coût écologique.
En bref, on arrête !
USAGERS, CONTRIBUABLES ET ALTERNATIVES
La mobilité, c’est la capacité de chacun, et de chaque foyer, de se déplacer pour tous les usages : domicile-travail, études et formation, la culture, les courses, la santé, les relations sociales.
La mobilité, c’est aussi avoir des services publics à disposition, des relations familiales, l’accès à l’internet et aux communications. Ça peut être la plage, la campagne, la montagne ou les villes alentours ; la culture, sans que cela s’appelle forcément tourisme. Juste s’ouvrir au monde autour de soi.
Fin du projet !
Après des heures de prises de paroles, pour ou contre l’autoroute, après une concertation en 2015, une enquête publique en 2016, c’en est fini de ce projet absurde.
64,4% de contre, c’en est fini de ce projet hors-temps.
Merci Nicolas Mayer-Rossignol, merci à tous les écolos, les activistes, les associatifs, tous ceux qui ont milité contre.
LES GAINS DE TEMPS
Dans le cadre de l’enquête publique de 2016, une étude socio-économique établit une comparaison entre les coûts et les gains du projet. Les gains de temps sont censés représenter 1,5 milliard €.
Fact Checkingdossier sensible
l’étalement urbain
L’étalement urbain est la progression des surfaces urbanisées sur la périphérie des villes de façon plus rapide que la croissance démographique1. L’étalement urbain résulte de la périurbanisation, qui résulte d’un choix résidentiel fait par certains ménages. Cela correspond à un desserrement des populations et des activités2et à une densification de l’espace rural. Les principaux attraits des milieux périurbains par rapport aux centres-villes sont pour ceux qui y résident : un coût du foncier et de l’immobilier avantageux, la possibilité de vivre dans une maison individuelle et un cadre de vie plus proche des milieux naturels. C’est l’amélioration des conditions de transports et notamment l’accès à l’automobile qui a permis cet étalement urbain résidentiel (wikipedia).
notre dossier sur l’étalement urbain : les faits, les chiffres, les sourcesdémographie
Une démographie et un PIB en berne depuis 30 ans, en Normandie comme dans la métropole…
Vite, il faut faire quelque chose, n’importe quoi !
Le pôle urbain de Rouen (460 000 habitants) n’a enregistré une croissance que de 1 450 habitants en 10 ans.
métropole, collectivités
Des élus mettent en priorité des objectifs d’économie des terres agricoles et s’empressent de les artificialiser pour raisons économiques… Tartufferie.
Toutes les collectivités affichent des objectifs de croissance pour une population qui n’existe pas.
La population croît de moins de 0,1% / an, Les logements 10 fois plus. Le taux de vacance 55 fois plus…
Les ZACs, déplaceuses d’emplois
Qu’est-ce qu’une ZAC ? Pourquoi les ZACs se périurbanisent-elles, et amène les employés des entreprises qui déménagent à faire toujours plus de kilomètres.
Après la désindustrialisation, la detertiairisation !
516 ha de nature artificialisés
Le projet autoroutier de contournement Est de Rouen, l’A133 et l’A134, c’est avant tout un projet qui risque d’engloutir 516 hectares au beau milieu de la “ceinture verte” de l’agglomération rouennaise et de la CASE : la moitié concerne des terres agricoles, réputées pour leur fertilité, et 146 hectares des espaces boisés classés.
espaces agricoles, forestiers et naturelsUn modèle calé en 2007, qui s’est planté en 2019
Le mensonge sur les trafics !
1.169.000 déplacement en automobile en interne, 43.000 déplacements en camions et utilitaires en interne, 91.120 VL en échange avec l’agglomération, et 7140 PL en échange avec le port et l’agglomération, soit 1.310.260 déplacements VL et PL en interne ou en échange avec l’agglomération. Dont 50.140 déplacements en poids-lourds ou utilitaires.
Délester un trafic PL en transit Nord-Sud, à condition qu’ils repectent les interdictions de circulation, et que celles-ci soient mises en place, cela délesterait l’aire urbaine de 0,08 %.
Avec un fort risque d’attirer des trafics supplémentaires, et de créer du trafic induit du fait de la périurbanisation.

Témoignages
Chercheurs, élus, citoyens, associatifs pourquoi s’opposent-ils ?
La transition écologique ne pourra être que si les critères pour juger de l’intérêt général sont réévalués.
Les autoroutes à péages A133-A134 sont l’hybridation de tous les inconvénients de la rocade ou du pseudo contournement Est de Rouen, présentés pendant plusieurs décennies.
Les biens communs, air, eau, biodiversité et paysages sont écartés au profit d’enjeux économiques privés.

Francis BIA
FNE Normandie
Une métropole durable et résiliente face au changement climatique gagnera à préserver son poumon vert, ses terres agricoles, et la ressource en eau potable.
Pour renforcer l’attractivité normande, privilégions le fret ferroviaire et fluvial, et développons une étoile de transports en commun reliant les villes normandes. L’étalement urbain et le béton n’ont plus d’avenir. Préservons la biodiversité et nos qualités de vie.

Laetitia Sanchez
Conseillère régionale
C’est un projet du passé qui ne répond plus du tout aux enjeux actuels. La réalité c’est que cette autoroute payante va détruire notre cadre de vie (forêt, champs, espaces naturels, ressources en eau) sans pour autant améliorer celui des rouennais. En effet il ne fera qu’aggraver les pollutions sonores, visuelles, sans oublier les particules fines.
Voulons-nous réellement ne laisser à nos enfants que bitume, pollution et camions?

Maxime Bunel
Non à l’autoroute
Rejoignez-nous pour empêcher ça !
Ils participent à la lutte
Au sein d’associations de riverains, écologistes, élus ou simplement amoureux de leur territoire, ils viennent défendre leur territoire et leur environnement aux côté de centaines d’habitants, dans la métropole, dans l’Eure et sur les plateaux Est de rouen – la ceinture « verte ».

guillaume et Malika
Effet de Serre toi-même

Laetitia Sanchez
Conseillère régionale EELV

Francis BIA
FNE Normandie

Maxime Bunel
Président Non à l’autoroute

Thomas et Myriam
Exploitants bio à Montmain

Jean-Michel Drevon
Institut de recherche de la FSU

Christin Poupin
Coalition climat 21, NPA

Nathalie et Julien
Première et deuxième avenue

Arnaud Levitre
Maire PCF d’Alizay

Alexis Fraisse
La petite cyclote, EELV

Stéphanie Cubaud
Sauvegarde du Cadre de Vie de Belbeuf St Adrien et du Plateau Est

René Hamon
René Hamon, président d’honneur non à l’autoroute










































































































Arnaud Delanney
Enseignant en génie des procédés








































































































le collectif
Non à l’autoroute 133-A134
Eux-aussi s’engagent
Contactez-nous
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